lundi 28 décembre 2009

Fat Come Back




Kevin Jones is back!

Ok, l'info date un peu, et si vous êtes lecteur de Method, vous êtes au courant et connaissez les dessous de l'affaire.

Ce qui est intéressant dans cette histoire, c'est de voir dans notre microcosme, ce genre d'hstoire, justement, eminament humaine. Surtout que dans ce cas là, il s'agit pas du come back d'un rider parmis d'autre, il s'agit de Kevin Jones, légende vivante, ce que mon colloc et moi appelons le plus gros gachis de l'histoire du snow.
Pour les incultes, Kevin Jones, a son apogé, était aussi influent et impressionnant que Petre Line ou JP Walker. Une figure quoi.
Il est aussi intéressant de noter que malgré une économie morose, et un marché pas super en forme, certaine marque n'oublie pas les riders qui leur ont permis de faire leur trou dans le milieu, comme quoi, tout n'est pas pourri et il arrive que les marques n'oublient pas de renvoyer l'ascenseur au lieu de presser comme un citron. Ca fait plaisir.


vendredi 18 décembre 2009

Sauvez un contest, mangez un rouquin!


Le cas Shaun White est un peu un mal de crâne. Si tu es un peu core, tu ne peux pas le kiffer, mais dans un sens, on est obligé également de reconnaitre ses qualités "sportives" et son aptitude à faire progresser la discipline, petit con va!
Quand on le voit dans sa part de sale autiste spasmophilique désintéressé par le réchauffement climatique, enchaîner les doubles rodéo comme on enchaînerai les shots de vodka dans PMU, on se dit que la pauvre tomate n'a rien compris à l'essence même d snow, passer un bon moment entre potes, et qu'il a bien sa place aux JO, entre les gros du curling, pd en lycra du short track et le blaireaux du biathlon.
En même temps, je vais le regarder aux JO, ce con.
Et ouai, un peu comme son sponsor principal, si j'achète pas de Burton, j'ai quand même pris un plaisir à peine avouable à regarder leur vidéo, et je les remercie secrètement de ce qu'ils ont fait et de ce qu'il font pour le snow.

Pour Backman, White, c'est comme l'Iphone, la référence pour tous les blaireaux qui n'arrivent pas à lire plus de trois lignes dans un magazine, la référence grand public quoi. La dernière fois que je suis allé aux X games, il y avait une queue de 20mn pour avoir un autographe de la tomate, elu par Rolling Stones "the coolest kid of the world". Dans un monde où les poules et les coiffeurs se branlent devant les show perave de real TV et achètent les t-shirts d'Audigier, franchement, je préfère encore être assimiler à un petit branleur californien qui a plié sa Lamborgini, mais au moins a fait quelquechose dans sa vie, et a accepté de prendre des coups (physiquement) pour en arriver là.

Je n'aime pas l'image qu'il renvoie dans notre milieu, mais celle qu'il renvoie à l'extérieur n'est pas si dégueulasse. En fait c'est ça je pense, Shaun White, il n'est pas pour nous, il est pour le grand public.

Enfin, toute façon, je croie qu'il s'en branle.


mardi 15 décembre 2009

On nous cache tout, on nous dit rien...

Quoi, tu ne sais pas faire un double cork...mec, tu vas mourrir puceau... ou pas.

Après un truc de mecano à Insbruk (ça doit s'écrire comme ça), le snowboard mondial a dégringolé de quelques places... ouai, par moment le rollerblading vaut mieux qu'une bande de couillons qui essayent de balancer de rodéos je ne sais pas combien ou encore de double ou triple cork mes couilles. Un mec qui arrive et qui pose ses tricks reste quand même la référence du snow. Après, je comprend, comme pour tout le monde, que la chute fasse partie de la progression globale du truc... Mais à un moment, on a un mec qui replaque ses tricks et tous les autres qui tombent...ouhhhhh.
On imagine ce qu'a dû se dire le champion : "Hey, les couillons! Je ne replaque peut être pas les double rodéo, mais je replaque!"







mardi 1 décembre 2009

parfois, tu te sens con...


Ingemar Backman vient juste de répondre à une demande d'interview de ma part. Il a même bien voulu répondre à l'itw toute entière, à des questions un peu con que j'ai rédigé entre excitation et apéro hier soir, devant la énième rediff' de Spy Game.

Bah en fait quand tu te retrouve confronté à une de ts idoles, tu te retrouve comme un con, avec pas gran chose dire, et cette situation a deux explications complémentaires. La première, c'est que je sais déjà a peut prêt tout sur ce gars là. En effet, dans une optique toute professionnelle (rien à voir avec le fait que je soit un gros fan), j'avais lu au préalable toutes les itw qu'il a accordé récemment et sur lesquelles j'ai pu mettre la main! Je connaissais donc déjà plus ou moins les réponses qu'il allait donner à mes questions.
La deuxième, qui peut surprendre, restera secrète. après tout, on est ici pour parler de snow, pas de moi.

Heureusement Mr Jim Bean m'a donné l'inspiration pour trouver une ou deux questions que je me posais réellement, et trouver un angle d'attaque.

Enfin tout ça, on s'en fout, ce qui est intéressant, c'est qu'a l'issue de cette itw, j'ai été un peu surpris. On peu, en lisant entre les lignes de cette itw (promo promo promo qui sera dispo dans le prochain Desillusion, promo promo promo) on découvre un peu de la personnalité réelle du mec, en dehors des questions classique, et une réponse assez surprenante (en tout cas pour moi) sur sa vision du snow aujourd'hui.
Ingemar est un monstre sacré, ça m'a donc amené à me posé une question simple, comment un mec comme ça peut-il être à fond de Shaun White? la tomate volante, qui est devenu un produit plus qu'un rider? c'est vrai quoi...

C'est en relisant sa réponse que j'ai pu comprendre de quoi il parlait, et ce qu'il voulait réellement dire. J'avais jugé mon icône un peu trop vite, et là, un fois de plus, on se sent comme un con.

mardi 24 novembre 2009

Voiture! Voiture... Engagement! Engagement...

S'il y a bien une chose récurente dans les productions internationales de cette année, c'est l'engagement, et pas uniquement dans le spin to win! En fait, si on regarde un peu, on se rend comte que dans quasi toutes les prod (sauf videograss et FODT) il y a des avalanches, et des riders qui soit, sont pris dedans, soit replaquent juste à côté, ou pire/mieux replaquent dedans!
Tous les riders qui partent shooter en backcountry sont au courant du danger, et de la menace que représente un éboulement neigeux sur le quoi de la gueule.

Torstein se fait avaler, et sortir in extremis par ses potes, Romain replaque dedans, puis dans un couloir tout trafioler, Xavier De le Rue n'a pas été plus marqué par son "accident" de l'année dernière et va encore chasser le couloir d'1m de large et de 80% de déclivité, à mach 12, avec...une avalanche au cul.

après les doubles cork sur une table verglacée , les drop death rails, les avalanches sont le nouveau truc "ultra hardcore" du snow. Aller titillé une coulée, c'est violent, stupide, inconscient, mais tellement putain de hardcore. N'y allons pas, mais apprécions le spectacle.


Ah, et pour info, voilà à quoi ça ressemble quand on est dedans. N'y allez pas les gars, c'est pas terrible...

lundi 16 novembre 2009

Flying Duck

J'aime bien Coincoin.
Déjà parcequ'il est sympa, ok il prend son "job" de snowboarder un peu trop au sérieux parfois, mais on ne peut pas lui en tenir rigueur, vu l'implication et la volonté qu'il met dans son ride. Et puis aussi pour autre chose qui est, je trouve, de plus en plus rare dans le snow, le style de bûcheron. Coincoin a un style de bûcheron, et c'est cool! Il se jette, il force, il y va, il pose ses couilles sur le billau à chaque run in et à chaque take off. Et vu que c'est un truc dont la majorité d'entre nous est incapable.

Et oui, on ne peut pas nier que des riders comme De Marchi, Xavier Delerue, Jeremy Jones (pas le teubé, l'autre), enfin, les mecs qui se jettent et mettent leurs cervicales sur le tapis pour quelques secondes d'adrénaline, nous en donne aussi à nous, de l'adrenaline. Enfin...je vous laisse regarder et on débrief un peu plus tard.



mardi 27 octobre 2009

c'est l'hiver?

Il paraît qu'il neige sur les sommet, les semelles ont été waxées, les carres affutées et le plein de la voiture est fait.
Bon, soyons clairs, on n'en peut plus! ont s'est abreuvé de vidéo, les montagnards ont entamé leurs premières sessions d'automne, les quelques vidéos youtube ou zapik mises en lignes sont là pour en témoigner.
Ce qui nous amène à nous poser la question de l'intérêt de ces micro-vidéos semi am, qui nous montrent des bandes de potes faire les foufou sur un micro rail de rollerblading ou un poljam de wakesurf...

Pour certains, ça fait monter la pression et la motive, ça pousse à sortir passer chez le poissonnier et allez tater du métal devant les gosses du quartier.
Pour d'autres, c'est aussi inintéressant que Lara Fabian au salon du chocolat, et ça ne consiste qu'en de la pollution visuelle organisée pour se montrer et satisfaire son ego.

En fait on s'en fout, juste allons faire du snow, vite.

jeudi 22 octobre 2009

C'EST QUI LE PATRON!

L'homme le plus innovant dans le snowboard mondial, celui dont chaque part' vidéo est précédée d'un "attend, ta gueule, c'est la part' de JP" et suivie d'un "putain, il déchire encore grave!", vient de nous poser ça dernière part en date, pour les besoins de la team video Stepchild.
Une leçon, tout simplement.
Voilà, pour la faire simple, il repaye la part' de Sexton, en plus gros, et en switch! Plus son désormais fameux gap 27 boardslide, à Saltlake. Pas grand chose à dire cette part, JP a mis tout le monde d'accord, un fois de plus.

Maintenant, arrêtons nous sur l'élément qui fait sortir cette part du commun des section video d'aujourd'hui: le switch intégrale.

Putain, les "switch part" ne sont pas neuves dans le skate, ça fait quelques années que les mecs se sont penchés sur la question, et nous, bons snowboarders c'est juste aujourd'hui qu'on le découvre?

Le skate à toujours un level d'avance. Autant en terme de rigueur que d'efficacité. Prenons un exemple simple, en skate, sur un spot, on ne médiatise que le plus gros tricks. Et si quelques temps plus tard, un nouveau joueur veux se mesurer à ce qui est devenu l'histoire, soit il fait mieux, soit il se casse. Quand on voit des vidéos comme Videograss, sur laquelle tous le monde se branle, entre autre pour son côté skate, bah elle ne respecte tout simplement pas cette première règle.

JP a, une fois de plus, fait progresser notre discipline, maintenant, esperons que les futures productions seront au moins aussi exigente que JP peut l'être.




mercredi 14 octobre 2009

True Life For Ever?

Forever Forum, c'est le nom de la dernière production audiovisuelle de nos camarades de chez Forum (vous savez les snowboard).
Depuis son rachat par Burton, la marque a connu quelques soucis d'image, des transferts (on pense à JJ chez Burton) et des départs douloureux, comme l'épisode melo dramatique avec JP.
Bon, ne faisons pas non plus couler les larmes dans les chaumières à rappeler cette douce e violente époque de "The Resistance" & "True Life", les deux vidéos qui, pour nous, ont définit ce qu'allait être le snowboard moderne (tellement vrai qu'aujourd'hui l'habillage de la nouvelle Ero One fait étrangement penser à celui de "True Life"), c'était l'époque du Forum 8...

Et bah aujourd'hui, en dehors du départ de Travis Kennedy, Forum c'est refait une image, et tant mieux. Ca y est, ils sont de retour, et ça fait plaisir. Après un coup très remarqué l'année dernière avec Forum or against them, qui reposait les jalon d'un vrai team. Cette année, on a eu la confirmation, l'essai est transformé. Ca fait plaisir.

Enfin bon, cette année, j'achèterai quand même une Capita...

lundi 12 octobre 2009

Début de saison?


L'hiver arrive à grands pas. Le mercure baisse, dégré pas degré, un peu plus chaque jour, les journées raccourcissent et la petite brise commence à ne plus rafraîchir, mais glacer un peu. Il neige à Chamonix, et les premiers contest ont eu lieu.

Enfin les premiers contest... Faut voir, faire la toupie sur un mecano géant, entre un show de FMX et une merguez frites, c'est du snow?

Oui, le débat et facile et surfait, mais ça me choque toujours un peu de voir des mecs, comme au cirque, balancer des tricks sur une structure métallique "furianesque", devant un public nourrit de fritures et des hurlements d'un speaker, sans jamais faire un turn, parceque de toute façon, y a pas la place.
C'est sûr, des manifestations comme ça (et je trouve que le terme manifestation correspond complètement à ce genre d'événement), c'est bon pour la popularité du snow, et plus le snow est populaire, plus il y a de pognon, et plus il y a de pognon, plus il y a de vautours, ok, mais aussi plus il y a d'innovation, d'écoute de la part des stations, plus de thunes pour les pro, les vidéo et autres projets. Donc si on reprend, c'est certain que pour la promotion de la planche à neige, les grandes kermesses urbaines de début de saison, c'est plutôt bien, après est ce que c'est du snow comme on l'aime? Pas dit, mais bon, à priori, nous le snow, on connait déjà, et on fait pas parti de la cible.

Sinon, ça ouvre quand les stations?

mardi 6 octobre 2009

Do It Yourself

Jeremy Jones, le légendaire freerider, pas le freestyler mormon, lance sa propre compagnie, après s'être fait gentiment dégagé de chez Rossignol, son ancienne crémerie pendant presque 20 ans.

Oui, notre style, c'est pas la news chaude, vous avez les snowboarders de chez Yelle pour ça, mais en ces temps de crise, il est interressant de se penché sur cette "culture" du do-it-yourself, qu'entraîne cette vague de licenciement massif au sein de l'industrie.

En effet, Yes Now Board (un nom un peu foireux sur un concept un peu brumeux, mais qui transpire l'honneté et la passion), Week End Snowboards, et maintenant Jones Snowboard. Pour un milieu qui se veut core, et en dehors des considérations classique du marché de la tronçonneuse, on se rend compte, que comme pour tous les secteurs, en cas de degazage, les employé montent leur propre affaire, et vu l'aspect pourri de la gestion de boîte aujourd'hui, on peut le comprendre aisément, voir même l'encourager.
Cependant...
Malgrès tout le succès qu'on souhaite à Jérémy Jones, son projet sans un peu déjà le sapin. Les ventes de snow sont déclinantes et le marché du freeride, pas le marché le plus porteur. Pour ce qui est de nos amis de chez Yes, un projet qui, je le répète transpire l'honnêteté et le retour au source. Mais déjà, on s'en souvient, au début de l'aventure, les fondateurs voulais une companie 100% rider owned, et quelques mois plus tard, pragmatisme oblige, on retrouve déjà un jeune "costard", pour aider à la gestion de la boîte. Ce n'est pas un mal, mais c'est le premier pas vers le danger, souhaitons qu'ils aient également le coeur pour ne pas se laisser bouffer par des décisions trop... pragmatiques.

Ok, on a envie de croire au succès de ces nouvelles boites plus basées sur les noms de leur fondateur que sur une nouvelle technologie ou autre chose. Des projet basés sur la communication (et c'est tant mieux, c'est la communication qui fait du snowboard ce qu'il est) mais qui à un moment, hélas, devront se confronter à la réalité comptable et marketing. En espérant très sincèrement que ce seront les gens honnête de chez Jones snowboard ou Yes, ou encore Bata ou Week End snow qui tiendront le pavé, et dégageront les crouilles des maxi corp qui ne voient le snow qu'en tableaux d'analyse financière.
Espérons...En attendant bonne chance aux nouvelles boîtes qui ont une vraie crédibilité.

dimanche 4 octobre 2009

You spin me round

Le spin to win est bien connu des pratiquant de snowboard dans des salles de concert ou sur des set-up. En soi, c'est dégeulasse. Le degré zéro de ce que le snow à de cool, l'affront au style, l'insulte au kiffe du snow, ou quand une bande de mec dénués de charisme cherchent à trouver la reconnaissance qu'ils ne trouverons jamais dans une video part.
Et pourtant...
Récemment, nous avons tous vu un scandinave (oui, pour les Algériens, marocains ou tunisien on ne fait pas l'effort de la distinction nationale, alors pareil avec les suédois, norvégiens, danois, finlandais) faire 4 tours et demi en l'air avant de retomber sur ses pattes. Le mec est chime, le tricks est chime, le grab est chime, a priori, tout ce qu'il faut pour attacher le gonze à un arbre, à poil, et l'enduire de miel, et attendre que soit un ours, soit les fourmis viennent lui régler son compte.


Mais en fait, si on y réfléchis bien, l'histoire du snow n'est pas forcément toujours glorieuse. Il arrive une fois de temps en temps (voir plus) que l'évolution passe par une créature hybride, juste sortie de prison, au style absent, mais qui pousse un peu l'enveloppe (pour faire un anglicisme), et oblige les autres, souvent plus exigent en terme de style, de classe, enfin les bons quoi, à envoyer plus gros, mais avec style.
Un double cork, en soit, c'est ignoble, sauf quand Solberg s'en charge. Un 1080, c'est un trick de dervich tourneur, sauf, quand JP le claque, comme on claque un gosse qui fait chier.

Mon point (nouvel anglicisme) c'est ça, on ne peut pas toujours compter sur Terje ou Backman pour mettre des majeurs breakthrough (hummmmm...) dans le snow. Parfois, c'est des tous moches. Vivement que les bons s'occupent de réparer ça.



jeudi 1 octobre 2009

Fuck Yeah!

Disons le, là, on se fait chier.
Le temps se dégrade, les jours raccourcissent de façon inversement proportionnelle aux jupes des filles, l'eau est moins chaude (tout comme les filles), et les gens recommencent à tirer la tronche (filles y compris).
Dans ces conditions tout à chacun essaye de trouver un moyen de passer cette désagréable période comme il le peut.
Dans les petits villages, les mecs se font de plus en plus insistants avec ces filles, dans la perspective de passer l'hiver au chaud. Dans les grands métropoles, la frénésie des achats, en substitue au lexomil, bat son plein. Et dans les villes de taille moyenne, bah on picole, comme d'habitude.

Et pour cette petite frange de la population, que les roi du PIB appellent les branleurs, nous quoi, on se prépare.
On farte et affûte, on matte les vidéos, on fait la révision de la voiture, on choisit sa tenue en attendant le starter de la saison: l'ouverture des stations.

Alors dans l'attente des beaux jours de peuf, et des soirées dans ces rades dont la particularité est de compter sur le mix alcool altitude pour faire oublier la pratique de prix abusifs, voici un petit guide internet des moyens de s'occuper.
De rien, vous me remercierez en m'offrant des vierges quand je serais canonisé.

Bon, bah bien sûr, LA référence:
http://snowboarding.transworld.net/

ensuite, le plus distrayant du moment, ça trash beaucoup, parfois pour le plaisir, mais souvent avec un fond de vérité:
http://www.thesnowboardjournal.fr/

Le meilleur blog du monde, avec tout ce que le net à de pire:
http://ignoredprayers.blogspot.com/

le site pour suivre les différentes étapes du WCT de surf:
http://www.aspworldtour.com/2009/

La Web TV la plus cool du net (français)
konbini.com

Voilà donc de quoi occuper un peu vos journées en attendant que la neige tombe, le soleil brille et la bière coule à flot...

mercredi 30 septembre 2009

Neverland

Enfin!

Depuis le temps qu'Absinthe réunissait devant leur 16 mm le gratin des gros riders de peuf, il était temps qu'ils sortent une vidéo qui fasse BANG!
Non pas que les prod passées soit mauvaises, mais on peut dire que depuis quelques années, regarder une Absinthe était soporifique, on s'ennuyait sévère. Un vrai paradox quand on sait la qualité des riders et même le potentiel de qualité de la boîte.

Et bien voilà, c'est fait, Absinthe is fuckin' back mother fuckers!

Des images monstrueuses, un montage avec du relief (pour une vidéo de montagnards, le relief, c'est quand même un minimum), des riders super stars, des tricks d'énérvés, des vraies part, de la lisibillité, de l'innovation, stop, stop, stop... Arrétons, après on va devenir des groupies.

Et merde, ouai, on est des groupies! Un casting avec RDM, JP Solberg, Travis Rice, Nicolas Muller, Gigi Ruf, Dan Briss, MFM, etc...bah ça fat rêver. Et cette année, on est en plein dedans.

Entre autres, De Marchi est monstrueux. Ils s'en bat les couilles et se jette comme s'il...s'en battait les couilles. C'est un peu un fat come back!

Nicolas Muller est précis et chirurgical, Montoya est rapide, flemmard dans le mouvement, mais pas dans la puissance, Cale Zima est tech, rock, drôle, et original. La tendance selon Zima: replaquer sur tout ce qui n'est pas de la neige. C'est une idée.

Travis Rice, à une intro et une part à l'image du bonhomme, drôle, impressionnante, et progressiste. Gigi fait du grand Gigi, i peut tout rider ce mec, et avec amplitude et un style qu'on ne insoupçonnable.
Il y a d'autres très bon moments et très bonne part, mais revennons juste sur celle de Dan Briss.
Monstrueux.
Il ride la ville comme un snow park, passe d'un immeuble à l'autre, gap par dessus deux camions (façon Colt Sivers), se met des grosses tables en park et flingue le back country!
Une polyvalence aussi rare que la paire de couilles qu'il trimballe!

Pour conclure rapidement (j'ai rencard, désolé), Neverland, c'est le gros retour d'Absinthe, et de la vidéo de snow hallucinante. C'est en voyant des vidéo comme ça que j'ai décidé de commencer le snow, et c'est en voyant Neverland que j'ai décider que la saison à venir allait être une boucherie.
Si seulement je pouvais m'en tamponner les couilles comme De Marchi...



mardi 29 septembre 2009

Enfin!

Oui, enfin vous pourrez trouver un point de vue décalé, mais classe, sur les sujets qui nous intéressent, surf & snow.

Voilà
c'est parti.
On n'est pas là pour se branler dans du papier crépon.